photo Journées Européennes des Métiers d'Art au site verrier de Meisenthal

Journées Européennes des Métiers d'Art au site verrier de Meisenthal

Exposition, Patrimoine - Culture

Meisenthal 57960

Du 05/04/2025 au 06/04/2025

Partout en France et en Europe, les Journées Européennes des Métiers d’Art sont un évènement unique au monde et gratuit en faveur d’une meilleure reconnaissance du secteur des métiers d’art. A cette occasion, le Site Verrier de Meisenthal se mobilise pour valoriser la filière verrière dans le cadre d’un parcours de visite unique qui retrace l’histoire de Meisenthal et celle qui continue à s’écrire aujourd’hui ! > VISITE LIBRE DU SITE Accès libre au parcours de visite Samedi 5 & Dimanche 6 avril / 13h30 - 18h LE MUSÉE DU VERRE Le Musée du Verre, dévoile au travers de ses prestigieuses collections, les épopées créatives successives qui ont permis au Site Verrier de Meisenthal de traverser les époques et marquer de son empreinte l’histoire de la création verrière, des somptueuses pièces « Art nouveau » créées par Emile Gallé à Meisenthal aux pièces contemporaines imaginées par des créateurs contemporains dans les ateliers du CIAV. EXPOSITIONS TEMPORAIRES « STUDIO GLASS, un souffle de liberté » Une collection de verre contemporain / Musée du Verre de Meisenthal Exposition visible du 1er avril au 30 décembre 2025 Musée du Verre / dans le cadre du parcours de visite « LE[...]

photo Conference - Au-delà de l'œil nu : le cubisme de Georges Braque

Conference - Au-delà de l'œil nu : le cubisme de Georges Braque

Peinture, Conférence - Débat

Metz 57000

Le 16/10/2025

Par Zoe STILLPASS. Dans Les Peintres Cubistes (1913), Guillaume Apollinaire écrit « Avant tout, les artistes sont des hommes qui veulent devenir inhumains. Ils cherchent péniblement les traces de l'inhumanité, traces que l'on ne rencontre nulle part dans la nature. » Si depuis la Renaissance la peinture cherchait à représenter la nature de manière « réaliste », le cubisme, développé par Georges Braque et Pablo Picasso a entrepris de dépasser les limites de la perception humaine pour dépeindre une réalité plus profonde, au-delà de ce qui est visible à l'œil nu. Le Grand Nu (1907-1908) de Georges Braque marque un tournant dans cette nouvelle manière de voir le monde. Cette conférence se concentre sur ce tableau emblématique de la collection dans le contexte du travail de Braque, et plus largement de l'émergence du cubisme. Cette conférence est gratuite pour les adhérents, Pass-M SOLO, Pass-M DUO et Pass-M Jeune.

photo EXPOSITION - ÉPAULE ET MARCHE

EXPOSITION - ÉPAULE ET MARCHE

Manifestation culturelle

Metz 57000

Du 06/01/2022 au 29/01/2022

Il était une fois un humain dans le désert. À l’heure de la prière que commande sa religion, il cherche la direction rituelle, s’oriente au soleil et dans l’axe trouvé, trace sur le sable un rectangle dans lequel il pénètre après avoir retiré ses sandales. La prière accomplie, il s’en va, laissant au vent le soin d’effacer les traces sur le sable, redonnant à la nature cet espace un instant composé, un instant extrait du monde. (1) Justement illustré par cette citation, on pourrait commencer par dire que le travail d’Evelise Millet tend à interroger l’idée d’espace habité, en s’attachant à diverses notions comme le paysage, le bâti et l’ornementation, ou encore la circulation et les flux. Car dans sa pratique de dessin et de volume, l’artiste modélise des formes et des vues qui sont “extraits du monde” et “composés” avec ce qui n’est pas visible (ou caché). Ces ébauches deviendront peu à peu des œuvres dans lesquelles, absent mais pourtant central, se situe le corps, tel celui de l’humain dans le désert qui marque et façonne le paysage à son passage, et disparaît.

photo EPAULE ET MARCHE

EPAULE ET MARCHE

Metz 57000

Du 27/01/2022 au 29/01/2022

Il était une fois un humain dans le désert. À l’heure de la prière que commande sa religion, il cherche la direction rituelle, s’oriente au soleil et dans l’axe trouvé, trace sur le sable un rectangle dans lequel il pénètre après avoir retiré ses sandales. La prière accomplie, il s’en va, laissant au vent le soin d’effacer les traces sur le sable, redonnant à la nature cet espace un instant composé, un instant extrait du monde. (1) Justement illustré par cette citation, on pourrait commencer par dire que le travail d’Evelise Millet tend à interroger l’idée d’espace habité, en s’attachant à diverses notions comme le paysage, le bâti et l’ornementation, ou encore la circulation et les flux. Car dans sa pratique de dessin et de volume, l’artiste modélise des formes et des vues qui sont “extraits du monde” et “composés” avec ce qui n’est pas visible (ou caché). Ces ébauches deviendront peu à peu des œuvres dans lesquelles, absent mais pourtant central, se situe le corps, tel celui de l’humain dans le désert qui marque et façonne le paysage à son passage, et disparaît. (1) Histoire anonyme ; Franck Rambert, Hors nature : L’enceinte, une figure de la sédentarisation, Métis Presses,[...]